fayra

fayra
De *ǝffay-rar, m. lit. ‘vertido para conjurar, rogar o restituir’.

F·YR

1. Fv. desus. Rel. Piedra redonda que, colocada a modo de altar en el centro del efequén, era utilizada para recibir las ofrendas durante la celebración de los ritos religiosos. Var. faira. Err. fura.

§ «A Fortaventure, il y avait eu une secte nommée Efeneque (4), dont les croyans se rendaient dans une enceinte circulaire fermée de murailles concentriques; au milieu de ces murailles se trouvait une grosse pierre ronde nommée fayra. Là, ils adoraient l’Éternel sous le nom de Dieu créateur, et répandaient sur le fayra une partie du lait de leurs troupeaux, et de la meilleure graisse» [Bory 1803: 95].
N. B. La nota (4) remite a: «Clavijo, Not. gen. etc. lib. II».

§ «[Lancerotte et Fortaventure.] Fayra, pierre ronde (objet de culte)» [Bory 1803: 51].

§ «[Palme et Ténériffe.] Fayra, palet et pierre ronde» [Bory 1803: 50].

§ Lz. «Faira, piedra redonda… Bory de S.t Vincent» [Chil 1880, I: 421].

§ «FAYRA. […] round stone in a place of worship» [Bute (1891) 1987: 75-76].

GALERÍA

«Fquen, o templo de los mahoreros» [Torriani 1590, XXI].